Formation première pro en montage vidéo
Formation première pro en montage vidéo

⭐Avis de nos élèves :

Excellente formation ! Tout est clair et concis, on apprend énormément de choses en peu de temps, j'ai la sensation d'avoir déjà beaucoup progressé merci 🙂
Morgane Albcp

Maîtrise le montage vidéo !

Rejoins les élèves de la formation et devient à ton tour un expert du montage vidéo !​

Ca m'intéresse !
Je n'avais jamais acheté de formation avant aujourd'hui [...]. Eh bien je peux vous dire que j'ai pas été déçu. J'ai pu apprendre à utiliser Première Pro en un temps record. [...] Maintenant c'est devenu une addiction, il faut que je monte sinon je m'ennuie :).
Hydra V

*avis udemy certifié et visible sur la page de la formation.

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J’ai récemment vu beaucoup de témoignages de monteurs vidéo freelance qui se sont fait arnaquer par des personnes peu scrupuleuses, qui ont refusé de payer les montages vidéo réalisés. C’est pour cette raison que dans cet article, je vais vous donner 4 méthodes qui vont vous permettre d’éviter de vous faire escroquer. 4 méthodes pour ne plus se faire arnaquer : Méthode 1 : Fixez toujours vos prix en amont Alors je suis d’accord, en tant que monteur c’est compliqué d’évaluer avec précision le temps de travail qui sera nécessaire pour mener à bien le montage.  Mais c’est important pour votre client d’avoir une estimation de combien cela va lui coûter.  Cela lui évite les mauvaises surprises, si le client s’attend à une facture de 100€ et que vous lui demandez à la fin 400€ et bien il y a de fortes chances que ça bloque..  Dans le meilleur des cas, vous allez vous lancer dans une session de négociation, dans le pire des cas il n’aura tout simplement pas l’argent pour vous payer. C’est pour ça que, même si un prix fixe et définitif peut être difficile à évaluer, apportez lui au moins une estimation plus ou moins précise pour qu’il arrive à situer le coût de sa demande et définir si vous êtes dans son budget. Si vous êtes déclaré, je vous conseille fortement d’acter tout ça avec un devis et de lui faire signer de manière manuscrite ou digitale. Le devis engage le prestataire à réaliser la mission, mais il engage aussi le client à régler la prestation. Cela va vous protéger en cas d’arnaque mais ça je vous en parlerai plus en détail à la fin du guide. Méthode 2 : Watermark + Downgrade N’envoyez jamais un montage utilisable avant d’avoir été payé !  Une fois le montage fini en sa possession, une personne malhonnête sera tentée de ne pas vous payer ou avec du délai, car au final ça lui change quoi ? Il peut utiliser votre travail comme bon lui semble maintenant qu’il est dans son SSD. Alors quelle est la solution ? Car en effet c’est légitime que le client souhaite voir que le cahier des charges a été respecté et que le travail a été bien fait. C’est pour ça que je vous conseille de faire 2 actions préventives si votre client souhaite voir votre travail avant de vous payer. -La première chose va être d’y apposer un watermark diagonale légèrement translucide. Cela ne gênera pas sa review mais il ne pourra pas poster la vidéo dans l’état. -La seconde chose, cumulative avec la première, c’est de downgrader la qualité. N’envoyez pas directement votre travail en 4K, mais en 1080p voire en 720p. Grâce à ces deux choses, la vidéo a comme unique utilité la fonction initialement prévue : vérifier que le travail a été bien réalisé. Méthode 3 : Vérifiez ses antécédents Bon, cette méthode fonctionne généralement que si votre futur client est connu, et encore, les manquements au paiement ne sont pas systématiquement dénoncés sur les réseaux même si cela devient de plus en plus commun. De toute manière, cela ne vous coûte rien de vérifier. Allez sur X (anciennement Twitter) et tapez dans la barre de recherche “le nom de votre client” + des mots comme “arnaque” ou “impayé”. On ne sait jamais, vous pourrez peut-être tomber sur des mauvaises surprises ! D’ailleurs, vous pouvez aussi essayer de trouver les freelances avec qui il travaille ou avec qui il a travaillé dans le passé et les DM afin d’avoir un avis sur la personne. Méthode 4 : Fais-toi payer avant ! Ça peut paraître banal mais c’est la solution la plus efficace !  Et c’est d’ailleurs celle que je privilégie car grâce à celle-ci les impayés ne sont plus une option envisageable. Par contre, ça demande à vos clients d’avoir confiance en vous, et c’est tout l’enjeu. Pour acquérir cette confiance, vous pouvez par exemple mettre en avant des avis de vos anciens clients. Mais le plus efficace c’est de lui éditer une facture en bonne et due forme afin qu’il ait la loi de son côté en cas de litige de votre part ! En effet, cette facture une fois payée vous oblige à délivrer votre prestation, faites-lui part de ça afin de le rassurer. Autre chose qui pourra mettre en confiance votre prospect, c’est que légalement sur cette facture devra figurer : -Votre nom-Votre adresse-Votre SIRET Grâce à ça, il sait désormais qui est la personne derrière le pseudo et ça permettra donc de dévoiler votre anonymat. Chose rassurante pour lui.Donc voilà cette méthode vous permettra de vous assurer d’être payé avant même de commencer à travailler. Maintenant les problématiques, c’est que déjà vous devez être déclaré pour acquérir ces marques de confiance. La seconde chose c’est que vous allez devoir avoir une bonne vision du nombre d’heures que vous allez passer sur ses rushs, car en cas de sous-estimation rien ne l’oblige légalement de vous payer après coup les heures que vous avez omises sur la facture. Maintenant, dans le cas où le client refuse de payer la totalité du service avant sa réalisation, une autre option est envisageable : c’est de demander un acompte, donc que le client paye une partie de la prestation avant et le reste après qu’elle ait été effectuée. Ça peut être un bon terrain d’entente si vous n’arrivez pas à vous mettre d’accord pour un paiement total. Et si c’est trop tard ? Une fois que le mal est fait, et que vous vous êtes fait arnaquer, deux cas de figure : -Si vous n’êtes pas déclaré, dans ce cas vous ne pouvez légalement pas faire grand-chose. Car vous êtes vous-même dans l’illégalité en travaillant sans statut social. La seule issue possible pour percevoir votre dû c’est de dialoguer avec votre client afin de trouver un terrain d’entente. -Si vous êtes déclaré, et que le client ne vous a pas payé dans le délai imparti indiqué sur la facture, vous allez avoir la possibilité de lui envoyer une mise en demeure. Cette mise en demeure a pour rôle de lui faire peur, car cela indique de manière officieuse que s’il ne paie pas rapidement, des démarches juridiques vont être entreprises. Dans 90% des cas la notification de mise en demeure, découle rapidement sur un paiement surtout s’il est signé des mains d’un avocat. Si ce n’est pas suffisant, à vous de faire le choix ou non d’aller au bout des choses et de porter l’escroquerie devant la justice. Conclusion : Donc voilà, vous avez maintenant de quoi prendre toutes les précautions et réduire drastiquement vos chances de vous faire arnaquer. Après évidemment, les règles de bon sens s’appliquent par exemple si le tarif qu’on vous propose est trop alléchant cela peut cacher quelque chose. Veuillez aussi à bien dialoguer avec le client et définir toutes les directives en amont pour que le travail que vous délivrez colle au mieux à ses attentes. Un défaut de paiement part souvent d’une insatisfaction donc soyez le plus professionnel possible pour limiter ce risque !  🧐C’est pas tout… Intéressé à devenir un expert du montage vidéo ? Dans ce cas, découvrez notre formation complète sur Adobe Première Pro : DECOUVRIR [...]
Comment optimiser et booster les performances d’Adobe Première Pro ? Afin d’améliorer drastiquement sa rapidité et dire enfin adieu aux problèmes de latence, de freeze et de bugs. En effet, il n’y a rien de plus énervant que de perdre de précieuses minutes à cause de ce genre de problème. Si vous êtes fatigué des lags qui entravent votre processus de montage, ce guide est fait pour vous. Dans ce guide, vous allez apprendre en 6 étapes comment bien paramétrer Première Pro. Laissez vous guider à travers des astuces pratiques pour améliorer les performances de votre logiciel de montage préféré. Du paramétrage de la RAM à l’optimisation de la preview, chaque étape est conçue pour éliminer les obstacles qui pourraient entraver votre créativité. Améliorer les performances de Première Pro : Etape 1 : Allouer plus de RAM Dans cette première étape, nous allons voir comment allouer plus de RAM à Première Pro, afin de réduire les risques de saturation de vos barrettes. Premièrement, ouvrez un projet, puis cliquez sur “Édition”, passez votre curseur sur “Préférences” et enfin cliquez sur “Mémoire”. Ensuite, nous allons arriver sur une nouvelle fenêtre qui nous indique les informations suivantes : La RAM installée La RAM réservée pour les autres applications Et enfin la RAM disponible pour Première Pro Ce que vous devez faire maintenant, c’est de diminuer la RAM réservée pour les autres applications afin d’augmenter celle dédiée à Première Pro. En faisant cela, Première Pro peut dorénavant utiliser plus de RAM. Vous allez ainsi réduire la latence causée par la saturation logicielle de vos barrettes. Essayez tout de même de laisser quelques Go disponibles pour les autres applications, afin de ne pas impacter la fluidité en multitâche. Une fois défini cliquez sur “OK”. Etape 2 : Vider la mémoire cache La deuxième chose que nous allons pouvoir faire, c’est paramétrer une suppression automatique de la mémoire cache. La mémoire cache est constituée de petits fichiers qui se créent lorsque vous effectuez votre montage vidéo. Ils ont pour rôle d’accroître la rapidité en gardant en mémoire certains fichiers. Le problème ? C’est qu’une fois le montage fini, par défaut, ces fichiers ne se suppriment pas et s’accumulent, ce qui va avoir pour conséquence d’impacter votre stockage disque mais aussi et surtout de ralentir Première Pro ! Donc, voyons comment régler ce problème. Pour cela, nous allons à nouveau cliquer sur “Édition”, puis “Préférences”, et cette fois-ci sur “Cache de média”. La première chose à faire sera de cliquer sur “Supprimer” à côté de “Retirer les fichiers média en mémoire cache”. Ensuite, cochez la case “Supprimer les fichiers média en mémoire cache non utilisés” et cliquez sur “OK”. Ne vous inquiétez pas, cette manipulation n’entraînera aucune perte de données. Cela va simplement supprimer les fichiers cache qui ne sont plus utilisés. Bien évidemment, s’ils le sont à nouveau, en ouvrant un ancien projet par exemple, Premiere Pro va les recréer automatiquement. Une fois la mémoire cache nettoyée, nous allons pouvoir en modifier la gestion en implémentant une suppression automatique sous un certain délai. Cliquez sur “Supprimer automatiquement les fichiers en mémoire cache antérieurs à :” puis renseignez le nombre de jours souhaité. Je vous conseille de vous baser sur la durée maximale qu’un montage vous prend en général. Si vous faites des montages rapides, une suppression sous 7 jours peut être un bon choix. Au contraire, si vos montages prennent du temps, une suppression sous 30 jours sera plus judicieux. Une fois la valeur renseignée, validez votre sélection en cliquant sur “OK”. Etape 3 : Activer l’accélération GPU La troisième étape sera d’activer l’accélération GPU. Normalement, ce paramètre sera déjà activé, mais je vous invite à vérifier. L’accélération GPU aura pour rôle, comme son nom l’indique, d’accélérer les rendus effectués par votre carte graphique. Pour cela, cliquez sur “Fichier”, puis “Réglage du projet”, et enfin “Généralités”. Ensuite, cliquez sur système de rendu et choisissez “Accélération GPU Mercury Playback Engine (CUDA)”. Si toutefois vous êtes sur Mac, vous n’aurez pas exactement la même appellation, mais quelque chose qui s’en rapproche. Une fois la bonne option sélectionnée, cliquez sur “OK”. Etape 4 : Faire un rendu Ensuite, lors du montage, nous allons pouvoir faire plusieurs actions qui vont permettre de réduire la latence lors de la lecture. La première est de demander à Première Pro d’effectuer un rendu. Pour faire en sorte que votre séquence n’ait plus de freeze, vous devez : Grâce aux boutons prévus à cet effet (voir capture d’écran), nous allons marquer une entrée au début de la partie qui pose problème, puis marquer une sortie à la fin de celle-ci. Une fois que la partie est bien sélectionnée, nous allons cliquer sur “Séquence”, puis “Rendu de l’entrée à la sortie”. Suite à cela, le logiciel va faire un rendu de la partie précédemment sélectionnée. Vous allez pouvoir constater que les parties qui étaient jaunes et/ou rouges sont devenues vertes, ce qui veut dire que le rendu a bien été effectué et que vous n’aurez donc plus de bug ou de latence. Etape 5 : Adapter la qualité de la preview La seconde action sera de changer la qualité de la preview. En effet, Adobe nous laisse la possibilité de choisir dans quelle définition nous souhaitons prévisualiser notre montage, et vous vous en doutez, plus celle-ci sera basse, moins ce sera demandant en ressources. Pour faire cela, cliquez simplement sur ce bouton : (voir capture d’écran) Vous allez maintenant avoir 4 choix qui s’offrent à vous : intégrale, ½, ¼, ⅛,Plus la division sera élevée, plus la qualité sera réduite et meilleure se porteront vos composants. Etape 6 : Bouton désactiver les effets Enfin, la dernière étape sera de rajouter un petit outil qui va nous permettre en 1 clic d’enlever temporairement tous les effets, bien évidemment sans modifier la timeline. Pour ce faire, nous allons cliquer sur le + en bas à droite de la preview. Cela va nous ouvrir l’éditeur de boutons. Cherchez le bouton avec pour icône “FX” puis glissez-le dans la fenêtre (encadrée en bleu) juste en dessous. Une fois fait, cliquez sur OK. Ensuite, cliquez sur notre bouton fraîchement ajouté, en faisant cela, vous verrez que les effets vont disparaître et vos problèmes de freezes et de latences avec. Pour réactiver les effets, appuyez à nouveau sur le bouton. Conclusion : Vous avez désormais toutes les clés en main pour optimiser les performances d’Adobe Première Pro.  En éliminant les problèmes de latence, de freeze et de bugs, vous pouvez désormais consacrer plus de temps à votre créativité et moins de temps à résoudre des problèmes techniques. Profitez pleinement de votre expérience de montage avec Adobe Première Pro, désormais optimisé pour libérer tout son potentiel.  Nous espérons que ce guide vous a été utile dans votre quête d’une expérience de montage plus fluide et efficace. Bon montage ! 🧐C’est pas tout… Intéressé à devenir un expert du montage vidéo ? Dans ce cas, découvrez notre formation complète sur Adobe Première Pro : DECOUVRIR [...]
Il n’est pas toujours simple de trouver un écran vraiment adapté à ses besoins. En effet, vous pouvez vite vous retrouver perdu face à cette multitude de caractéristiques différentes. C’est pourquoi dans ce top, je vais vous présenter les 5 meilleurs moniteurs pour le montage vidéo avec les points forts et les points faibles de chacun. Je vais ensuite vous expliquer, point par point, quelles sont les différentes spécificités d’écran à prendre en compte et vers quoi s’orienter lorsqu’on fait de l’édition vidéo. Notre top 5 moniteurs pour le montage vidéo :  1. ASUS PA278QV – Le meilleur rapport qualité/prix. Taille : 27″ I Format : 16:9 I Résolution : 2560×1440 QHD I Dalle : IPS I Rafraichissement : 75Hz I Espaces colorimétrique : 100% SRGB/REC.709 📈Points forts : + Rapport qualité prix+ Espaces colorimétriques et valeur delta digne du milieu voir haut de gamme+ Réglables en : hauteur, inclinaison, pivot et rotation 90 degrés+ Calibrage d’usine 📉Points faibles : – Pas de connectique Type-C ✍🏼Notre avis : L’écran avec le meilleur rapport/qualité prix, c’est simple il a (pratiquement) tout d’un haut de gamme sauf son prix ! Son espace colorimétrique 100% SRGB et REC.709 ainsi que sa valeur Delta < 2 font de cette écran un choix de prédilection pour le montage vidéo ! De plus, sa taille d’écran de 27″ et sa résolution QHD va vous offrir un réel confort de travail. Si vous voulez titiller les moniteurs professionnelles sans vous ruiner cette Asus PA278QV est fait pour vous ! VOIR SUR AMAZON 2. BenQ PD3420Q – Un ultrawide, pour les grandes timelines. Taille : 34″ I Format : 21:9 I Résolution : 3440×1440 QHD I Dalle : IPS I Rafraichissement : 60Hz I Espaces colorimétrique : 100% SRGB/REC.709 – 98% DCI-P3 📈Points forts : + Son format ultrawide + Ses connectiques+ Style épuré 📉Points faibles : – Son manque de mobilité– Un prix qui aurait mérité une meilleure résolution ✍🏼Notre avis : Ce moniteur ultrawide vous permettra d’avoir un espace de travail élargi, particulièrement utile si vous ne souhaitez pas avoir un setup avec deux écrans. Concernant ses espaces colorimétriques, on retrouve un 100% sRGB/REC.709 ainsi qu’un 98% DCI-P3, un espace plus précis généralement présent sur les moniteurs haut de gamme. Un écran de choix si vous souhaitez un format 21:9, même si l’on peut tout de même noter que sa résolution est globalement inférieure aux concurrents pour une gamme de prix similaire. On accusera aussi un manque de mobilité avec un moniteur uniquement inclinable et réglable en hauteur. VOIR SUR AMAZON 3. KOORUI – Pour les petits budgets. Taille : 24″ I Format : 16:9 I Résolution : 1920×1080 FHD I Dalle : IPS I Rafraichissement : 75Hz I Espaces colorimétrique : 99% SRGB 📈Points forts : + Son prix+ Des couleurs satisfaisante 📉Points faibles : – Sa taille de 24″– Qualité de fabrication– Très peu de mobilité (inclinaison uniquement)– Pas de Display Port et de Type-C ✍🏼Notre avis : On retrouve le petit prix de ce top ! Pour 100€, à l’heure où j’écris ces lignes, il se débrouille plutôt bien : une dalle IPS et un espace colorimétrique à 99% sRGB font de lui un moniteur qui va permettre l’édition vidéo (du moins si on n’est pas trop exigeant). Malgré tout, sa taille de 24″, sa faible mobilité et son manque de connectiques le distinguent des gammes supérieures. Mais c’est un bon premier écran pour débuter sans se ruiner ! VOIR SUR AMAZON 4. ASUS PA329C – Le plus performant ! Taille : 32″ I Format : 16:9 I Résolution : 3840×2160 UHD I Dalle : IPS I Rafraichissement : 60Hz I Espaces colorimétrique : 100% SRGB/REC.709 – 100% Adobe RGB – 98% DCI-P3 📈Points forts : + Ses espaces colorimétriques excellents+ Son grand écran et sa résolution+ Ses connectiques+ Son design+ Ses fonctionnalités+ Sa mobilité 📉Points faibles : – On aurait préféré du 75Hz– Prix élevé ✍🏼Notre avis : On ne pouvait pas faire ce top sans vous proposer la Rolls Royce des écrans pour le montage vidéo, c’est simple, il a tout ce qu’il faut, là où il le faut ! Ce ASUS PA329C est une option adaptée pour les monteurs vidéos professionnels en raison de sa résolution 4K UHD, de ses espaces colorimétriques étendus (100% sRGB, Rec. 709, 98% DCI-P3 et 100% Adobe RGB), et de sa taille d’écran généreuse de 32 pouces, il offre ainsi un espace de travail confortable et une qualité d’image exceptionnelle pour l’édition vidéo et la conception graphique. La connectivité complète avec des ports HDMI, DisplayPort, et USB-C ajoute à sa polyvalence. Il fait aussi preuve d’une mobilité totale. Cependant, le prix élevé et son orientation ultra professionnelle peuvent ne pas le rendre idéal pour tous les utilisateurs, notamment ceux cherchant des fonctionnalités simples ou qui ont un budget plus restreint. VOIR SUR AMAZON 5. BenQ PD2705U – De la 4k sans se ruiner. Taille : 27″ I Format : 16:9 I Résolution : 3840×2160 UHD I Dalle : IPS I Rafraichissement : 60Hz I Espaces colorimétrique : 99% SRGB/REC.709 📈Points forts : + Sa résolution UHD 4K+ Ses connectiques+ Mobilité, réglages en : hauteur, inclinaison, pivot et rotation 📉Points faibles : – Espaces colorimétriques et Delta inférieur à certains concurrents dans la même gamme de prix. ✍🏼Notre avis : Le BenQ PD2705U est un choix de prédilection si vous souhaitez une résolution 4k sans trop impacter votre portefeuille, il nous offres aussi une panoplie de connectiques généreuses (notamment le type-c pour les utilisateurs Apple), ainsi qu’une très bonne mobilité qui vous permettras même de le mettre en format vertical. Mais on peut déplorer un espace colorimétrique et une valeur Delta inférieur à ce que nous proposes d’autres écrans dans des gammes de prix similaires. Malgré tout, il rempli parfaitement son rôle de moniteur conçu et adapté pour le montage vidéo et la retouche photo. VOIR SUR AMAZON Bien choisir son écran pour l’édition vidéo : Maintenant que nous avons vu les meilleurs moniteurs, nous allons passer en revue les différentes spécifications essentielles d’un écran : la dalle, le taux de rafraîchissement, la taille, le format et la résolution. Nous allons définir ensemble sur quoi devra se porter votre choix et pourquoi. 1 – La dalle (IPS, TN, VA et OLED) On commence tout d’abord par les différents types de dalles. On retrouve majoritairement des dalles IPS, TN et VA. Mais évidemment, elles ne se valent pas toutes. Chacune a ses points forts et points faibles : La dalle TN : Va être la rapidité d’affichage. On peut atteindre des taux de rafraîchissement particulièrement élevés avec des taux de réponse très faibles. Cette dalle est donc particulièrement adaptée pour le gaming compétitif.Maintenant, son gros point négatif, c’est son contraste très moyen et surtout son espace colorimétrique très limité. On aura une fidélité des couleurs mauvaise.En raison de sa faible plage de couleurs, la dalle TN est donc à exclure lorsqu’on cherche à faire du montage vidéo ou du graphisme. La dalle VA : Son point fort va être son taux de contraste. Avec un ratio de 3000:1, elle surclasse largement la dalle TN et légèrement la dalle IPS.Concernant son point faible, c’est qu’elle ne va pas être optimale au niveau des couleurs. Même si elle est meilleure que la TN, elle ne va pas réussir à prendre en charge certains espaces colorimétriques.La dalle VA n’est pas une mauvaise dalle. Elle est même assez polyvalente. Pour le gaming, ça peut être un bon choix, mais nous allons voir que pour le montage vidéo, il y a mieux. La dalle IPS : Son point fort, ce sont ses couleurs. C’est la dalle qui va avoir la meilleure fidélité et la meilleure reproduction.Son point faible va être sa rapidité d’affichage, en raison d’un traitement plus complexe de chaque pixel. Vous l’avez sans doute compris, la dalle IPS va être donc un choix de prédilection en matière de montage vidéo. Son point fort, la fidélité des couleurs, est la chose la plus importante dans notre cas. Son point faible, la rapidité, nous importe peu. C’est donc vers une dalle IPS que votre choix va devoir se porter. 2 – Taux de rafraîchissement Le taux de rafraîchissement, exprimé en Hz, est le nombre d’images par seconde que l’écran va pouvoir afficher. Concrètement, pour du montage vidéo, on ne va pas avoir besoin d’un taux de rafraîchissement très élevé. La raison est simple : nos rushs ne vont que très rarement dépasser les 60 fps, étant donné que les valeurs génériques d’une caméra sont : 25, 50 ou 60 fps. Pour le gameplay de jeux vidéo, ça peut être plus élevé, mais de toute manière, les plateformes comme YouTube ou les réseaux sociaux brideront le nombre d’images par seconde. C’est pour ça que les valeurs génériques et normales pour des écrans orientés montage vidéo sont le 60 et le 75 Hz. Pour cette utilisation, on trouvera de toute manière rarement au-dessus, et si c’est le cas, ce sera des moniteurs orientés gaming qui offriront une plage de couleurs moins intéressante pour du professionnel. 3 – Taille et format Taille : Pour travailler dans de bonnes conditions, vous devez avoir un espace de travail assez conséquent, et cet espace de travail conséquent, vous allez l’obtenir en partant sur des écrans de grande taille. Imaginez-vous à quoi ressemblerait votre timeline d’1h sur un petit écran de 24”. Ce n’est clairement pas optimal et à la longue, cela va vous faire perdre beaucoup de temps. La même chose s’applique pour la preview. Si vous devez coller votre tête à l’écran et plisser les yeux pour distinguer les détails, cela sera juste ingérable. J’extrapole, mais c’est pour que vous compreniez l’idée. Donc, pour la taille, je vous conseille de bannir le 24” et en dessous. Pour moi, le plus optimal reste le 27” et le 32”. Au-delà de 32”, vous risquez d’avoir une surface trop importante et cela peut gêner certaines personnes, car la totalité de l’écran ne sera pas dans votre champ de vision. En conclusion, je vous conseille un format 27 ou 32”, ce qui sera le plus adapté à la grande majorité des cas d’utilisation. Format : Maintenant, il n’y a pas que la taille qui va être à définir, mais aussi le format. Certains écrans vont vous offrir une autre possibilité que le format générique 16:9. On va retrouver du 21:9, aussi appelé ultra-wide. Donc là, en fait, ça va être la largeur d’écran qui va changer, vous augmentant donc l’espace sur les côtés. Cela va vous permettre d’avoir un espace de travail élargi, et pour le montage vidéo, c’est plutôt intéressant. C’est aussi une solution alternative aux doubles écrans. En optant pour un ultrawide, vous avez l’espace d’inclure 2 fenêtres sur le même écran sans impacter votre productivité. Donc voilà, un choix qui peut être intéressant en fonction de ce que vous recherchez. 4 – La résolution Maintenant, concernant la résolution, c’est votre budget et la taille d’écran que vous souhaitez qui vont le définir. En fait, il faut se baser sur le DPI. Ce DPI définit la densité de pixel par pouce, il va être variable en fonction de la résolution par rapport à la taille de l’écran. Donc, pour que vous compreniez, une résolution QHD sur un trop grand écran peut avoir une définition moins importante qu’une résolution Full HD sur un petit écran. C’est pour ça que le mieux est d’adapter la résolution en fonction de la taille d’écran que l’on souhaite acquérir. En partant de ce principe, si vous optez pour un écran : 24” = Résolution Full HD ou plus (1080p) 27” = Résolution QHD ou plus 32” = Résolution 4k ou plus 5 – Résumé et espaces colorimétriques : Donc voilà, on a fait le tour des différentes spécificités à prendre en compte. Pour vous faire un rapide résumé : pour la dalle, optez pour du IPS ; pour le taux de rafraîchissement, 60 ou 75 Hz fera largement l’affaire ; pour la taille, 27 ou 32” est conseillé, et pour la résolution, adaptez-la en fonction de la taille d’écran souhaitée. Voilà pour les specs principales. Je vais aussi vous faire un point rapide sur quelque chose à bien prendre en compte lors du choix de l’écran : ce sont les espaces colorimétriques. Exprimés en pourcentage, on en retrouve 2 principaux : le sRVB et le REC.709. C’est ce qui va définir la fidélité des couleurs. Pour faire simple, plus le pourcentage est proche de 100, meilleur est l’écran. Vous retrouverez généralement ces informations dans les détails du produit. Conclusion : En conclusion, le choix d’un écran pour le montage vidéo est crucial pour garantir une expérience visuelle optimale et une productivité accrue. Dans ce Top 5 des meilleurs écrans dédiés au montage vidéo, nous avons exploré les meilleures options qui s’offrent à nous. En investissant dans l’un de ces écrans, vous pouvez améliorer significativement la qualité de vos montage vidéo, en bénéficiant de détails précis, de couleurs fidèles, et d’un meilleur espace de travail. 🧐C’est pas tout… Intéressé à devenir un expert du montage vidéo ? Dans ce cas, découvrez notre formation complète sur Adobe Première Pro : DECOUVRIR [...]
Les meilleures Polices d’écritures Retrouve le top 12 des meilleures polices d’écriture pour le montage vidéo et le graphisme, et découvre ainsi des fonts modernes au rendu professionnel afin d’amener tes réalisations à un autre niveau.Ces polices d’écriture contemporaines vont rendre tes titres et sous-titres impactants visuellement.La sélection méticuleuse de ces polices, allant des styles épurés et professionnels aux typographies plus expressives et artistiques, vise à offrir une palette diversifiée pour répondre à tout type de contenu visuel.Ne sous-estimez pas l’importance du choix de la typographie pour renforcer l’impact émotionnel, la lisibilité et l’esthétique d’une vidéo. Toutes les fonts présentée sont libres d’utilisations pour un usage personnel mais certaines demandes des licences pour un usage commercial.Si tel est votre intention je vous invite à prendre connaissance des conditions d’utilisation de chacune d’entre elles. Top 12 des plus belles fonts : 1. FilsonPro Une typographie épurée, alliant modernité et classicisme, offrant une lisibilité optimale et des courbes douces pour une atmosphère chaleureuse. 2. Komika Axis Une police audacieuse et dynamique aux lignes énergiques, idéale pour apporter une touche de vivacité à tout support graphique. 3. Azonix Une typographie futuriste aux traits fins et anguleux, conférant un aspect contemporain et sophistiqué à tout texte. 4. Nexa Une police géométrique équilibrée, à la fois sobre et distinctive, parfaite pour créer des titres percutants et une identité visuelle forte. 5. Made Tommy Une typographie manuscrite élégante et expressive, apportant une touche artisanale et personnelle à tout contenu. 6. Magic Dream Une typographie fantaisiste et créative, mêlant des éléments de conte de fées à une esthétique moderne pour une ambiance onirique. 7. Maler Une police à la fois robuste et artistique, mêlant des éléments vintage à une esthétique moderne pour une atmosphère créative 8. Integral Une typographie géométrique et épurée, offrant une esthétique minimaliste idéale pour une présentation professionnelle et contemporaine. 9. Akira Une police artistique et futuriste, jouant sur des formes audacieuses et des détails uniques pour une identité visuelle marquante. 10. Bebas Neue Une typographie imposante et sans fioritures, idéale pour des titres percutants et une présence visuelle forte. 11. Road Rage Une police dynamique et rebelle, avec des traits énergiques et une esthétique grunge, parfaite pour des designs audacieux et percutants. 12. Soulmaze Une police ludique aux lignes fluides, apportant une atmosphère décontractée et imaginative à tout type de contenu. 🧐C’est pas tout… Intéressé à devenir un expert du montage vidéo ? Dans ce cas, découvrez notre formation complète sur Adobe Première Pro : Découvrir la formation [...]
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